Le 28 février a été défini comme journée mondiale sans Facebook. Mais que se cache derrière cet évènement très médiatisé sur le web ? Quels leçons peut-on tirer de la mise en place de ce type de démarche ?
Officiellement, cette journée a été instaurée pour sensibiliser aux risques d’addiction que représente le géant qu’est Facebook. On peut néanmoins élargir ce problème à l’ensemble des réseaux sociaux voire d’internet. Cet évènement permet de prendre conscience de ce qu’est une journée sans se connecter aux réseaux sociaux, en clair, comment est-ce que l’on vivait avant l’apparition de ces plateformes.L’addiction aux réseaux sociaux est malheureusement un problème de plus en plus courant. Être présent sur un réseau social devient une évidence et indispensable pour une grande partie de la population. Il touche tous types de personnes, de catégories sociaux professionnels et également des personnes qui ne sont pas sensibilisées à ce que représente un réseau social. C’est d’ailleurs pour cela que Facebook met en place de plus en plus de système de protection de données afin que chacun puisse se prémunir de photos embarrassantes sur lesquels nous apparaissons ou de commentaires dans lesquels nous sommes cités.
Cette addiction se développe également avec la possibilité d’accéder à Facebook depuis de nombreux moyens : smartphone, tablettes, … Les applications mobiles permettent d’accéder à son espace sur le réseau social depuis n’importe quel lieu via le réseau mobile. Les Français se connectent partout, même en vacances. Un sujet qui inspire différentes études et infographies comme celle de NetBooster.
Vous plierez vous à cet évènement ? Il est peut être temps de faire un break, de laisser vos yeux et votre cerveau loin de votre écran et d’internet. Il s’agit d’ailleurs d’un thème récurrent, notamment abordé au cours des dernières semaines avec l’œuvre de Douglas Coupland : I Miss My Pre-Internet Brain.
Une journée sans Facebook, c’est peut être l’occasion pour vous de découvrir un autre réseau social à la mode : Google+, Pinterest ou encore Hellocoton. Attention à ne pas en devenir addict 😉
Pour en savoir plus sur cette journée, vous pouvez consulter le site dédié aux journées mondiales.
C’est fou qu’on en soit à créer une journée dédiée pour parler des risques d’addiction à Facebook.
Il est loin le temps où les gamins prenaient leurs bicyclettes et ballons pour aller jouer dehors entre copains. 😉
Penses-tu que ce mouvement sera suivi ?
Je pense que c’est un peu comme toutes les journées mondiales, on va beaucoup en parler mais peu de personnes vont vraiment s’y tenir.
On en parle beaucoup… sur Facebook (!)
Je crois bien que pour moi c’est déjà trop tard ^^
L’objectif principal de la mise en place d’une telle journée est, conformément à ce que vous avez très bien expliqué, plus de sensibiliser à l’addiction que de vraiment inciter à ne pas utiliser Facebook.
Cela pourrait même avoir l’effet inverse sur certains annonceurs qui vont se dire que c’est un jour particulier au cours duquel ils auront plus de visibilité. Ceux-ci en profiteront donc pour poster leurs publications. En espérant pour eux que tous n’aient pas raisonné de la même façon !
Ah tiens, je n’étais pas au courant de cet évènement. Comment as-t-il marché ?
La question que je me pose est la suivant, qui au juste a instauré cette journée??? Moi j’ai découvert ça cette année la veille soit le 27, alors que dans mon esprit le 28 février est la journée internationale des maladies rares, chose bien plus importante et dont on a beaucoup moins parlé je pense…
Pour ma part j’instaurerai un mois complet sans Facebook, cela ferait le plus grand bien à certain(e)s qui passent leur vie sur ce réseau social ! 😉